*Magnify*
SPONSORED LINKS
Printed from https://www.writing.com/main/view_item/item_id/1908592-Ariane-Chapitre-3
Printer Friendly Page Tell A Friend
No ratings.
by Zeike
Rated: XGC · Fiction · Erotica · #1908592
Nouvelle érotique écrite en français. Le contenu peut choquer (pédo, scat, viol, zoo).
Chapitre 3:

  J'étais la première à l'avoir vue, c'est parce que je marche plus vite que les autres. Déjà les arbres se sont espacés, puis la civilisation est apparue, sous forme d'une route, un bout mène au delà de ce que je voyais, à l'horizon; l'autre, allant vers nous, s'arrête à une petite ferme au bas de la colline. J'ai commencé à crier à Tarra et Aline qui étaient encore derrière moi, elle se sont précipitées au dessus de la pente qui leur cachait ce que je voyais. Après plusieurs cris de joie nous avons couru vers le bâtiment.
...
– Bien joué Ariane, me complimente Aline pendant que nous marchons essoufflées, en direction de la ferme.
– Vous pensez qu'il y a quelqu'un à l'intérieur ? demande Tarra.
– Bien sure que oui, je rétorque. Il y a une voiture devant l'entrée et des animaux dans la cour.
Je prend le temps d'observer la ferme plus précisément : Il y a une petite maison de campagne, reliée à la route; et quelques dizaines de mètre derrière, une grande étable qui doit servir à loger les animaux. Car entre les 2 bâtiments il y a une coure entourée par une grande clôture, et reliée à un grand pré derrière où deux taureaux mangent l'herbe. Il y a également un cheval qui galope et plusieurs cochons dans la cour. Je n'ai pas vu d'animaux depuis bien longtemps en dehors des chiens que les invités du maître amenaient quelques fois, et je suis très curieuse de voir comment la vie à la ferme se déroule ! Après tout cette endroit a l'air loin de tout, je pourrais même demander au propriétaire s'il peut m'adopter, et je laisserai Aline et Tarra aller à l'orphelinat.
– Allez je sonne, indique Aline lorsque nous arrivons devant la porte.
...
L'homme qui nous ouvre fait une tête bizarre, il y a plusieurs raisons à cela : il ne doit pas avoir l'habitude de recevoir des visiteurs sans entendre de voiture avant; et il doit encore moins avoir l'habitude que ça soit 3 enfants presque nues qui l'attendent derrière la porte. Je me suis cachée derrière Tarra et celle-ci s'est cachée derrière Aline qui a la chance d'être plus couverte que nous. Il soupire et nous fais signe d'entrer, comme s'il venait de comprendre... qu'il ne pourrait pas comprendre. Il m'inspire confiance, je le suis sans réfléchir et mes copines en font de même. Il est plutôt grand, la trentaine, habillé en jean et veste. Il ressemble pas au fermier qui était au dos des boites de céréales au château, mais il a l'air amical.
L'intérieur est plutôt joli, plus moderne que ce que je pensais. Il nous installe dans la cuisine sur des chaises très confortables.
– J'vais vous préparer à boire, dit-il enfin. Vous vous décidez à me raconter ?
Sa voix est rassurante, il sait parler aux enfants, j'imagine qu'il fait pareil aux bêtes pour les calmer.
– On pourra visiter votre ferme ? je demande.
Même s'il remplit les verres dos à nous je sais qu'il sourit à ma question.
– Je t'emmènerai à l'étable tout à l'heure, il me dit en riant.
Je le remercie, et il finit par nous servir un verre de jus d'orange chacune. Assoiffées comme nous sommes, nous n'hésitons pas et buvons à grandes gorgées.
– Tu aimes bien les animaux toi ? il me demande pendant que je finis mon verre.
– Oh oui, je répond confiante, mes préférés c'est les chevals, mais j'en ai jamais vu en vrai... sauf dans votre pré tout... à l'heure...
Ma vision commence à se troubler et je ne sais plus très bien ce que je dis... J'ai juste le temps d'apercevoir Aline et Tarra qui ont l'air dans le même état que moi avant de tomber par terre. Le noir total.
...
...
Je me réveille avec une étrange sensation sous mon dos, je dois être sur les feuilles de la forêt, ça n'était qu'un rêve ? !...... Mes espoirs sont vites déçus lorsque je me redresse : je suis sur de la paille, je vois encore assez difficilement et j'ai du mal à revenir à la réalité... Je vois Aline un peu plus loin, dans un coin, elle est en train de faire pipi à en juger par sa position. Elle n'a plus ses vêtements, il a dû nous les prendre pendant que nous étions évanouies. J'aperçois aussi Tarra par terre, à coté de moi, ses pleurs me viennent à l'oreille, tout comme d'autres bruits, j'entends des grognements qui viennent de derrière moi, je me retourne... Des cochons ! Je cherche à m'éloigner le plus loin possible des animaux mais suis vite stoppée par une chaîne qui tire sur mon pied. Je tombe encore, à coté d'Aline.
– Calme-toi, elle me dit en s'essuyant sa fente du revers de sa main. On est dans un enclos, il y a rien à craindre pour l'instant.
Petit à petit je reprends mes esprits. Un enclos : 2 mètres sur 2 environ, un mangeoire à coté d'une petite porte en métal, un trou pas très profond pour faire ses besoins, le tout entouré de barrière de métal sur les 4 cotés. On peut voir les enclos voisins et je me rends compte du ridicule de ma crainte. Les cochons sont de l'autre coté, l'espace entre les barres est à peine suffisant pour laisser passer leur gros nez à travers, et puis les cochons mangent pas les enfants, hein? Au fur et à mesure de mon réveil, l'odorat me revient aussi : l'urine, le caca, et les animaux, tout ça donne envie de se boucher le nez, mais je résiste à la tentation, c'est supportable pour moi. Notre enclos est dans un coin, on en a qu'un seul à coté de nous, les 2 autres cotés sont des murs de bois. En face il y a un cheval, chouette ! Je vois enfin un cheval de près : celui-là est très grand, il est tout noir avec un museau marron, trop mignon ! J'ai envie de le caresser mais la chaîne accrochée à mon pied me permet à peine d'aller devant notre porte qui de toute façon doit être fermée... J'entends une grande porte qui s'ouvre, ça doit être celle de l'entrée de l'étable, de là où je suis je ne peux pas apercevoir la porte parce qu'elle est à l'autre bout de la salle et que les piliers en bois me bloquent la vue. Mais j'entends les bruits de pas, ça peut être que le fermier. Il arrive devant notre enclos et fouille dans sa poche pour y prendre des clés.
– Bien dormi? Il nous demande en ouvrant le portail. Il aurait fallut le dire tout de suite que vous veniez de chez Albert, j'aurais pas eu besoin de vous droguer, il parait qu'il fait des petites filles soumises comme tout. J'imagine aussi que vous avez déjà bien été travaillées par ses invités, mais je vais quand même vérifier.
Il s'agenouille à coté d'Aline et ordonne à celle-ci de se lever. Elle s'exécute et tend ses fesses vers lui en écartant les jambes pour que l'homme puisse bien voir ses deux orifices.
– En voilà une grande fille docile, commente l'homme en glissant ses doigts précédemment mouillés de salive dans les 2 petits trous d'Aline. Et t'as l'air d'avoir l'habitude en plus, mais je vais trouver quelque chose pour t'occuper, t'inquiète pas.
Il retire ses doigts et tourne son attention sur Tarra qui cherche à fuir à 4 pattes le plus loin possible. Pas facile avec la chaîne autour du pied; Il lui appuie sur la tête pour la mettre à genoux, la pauvre pleure mais ne cherche plus à se débattre.
– On a un beau morceau ici, il se moque en tapotant mes fesses de mon amie espagnole avec son pied. Je savais que les cochons espagnoles était bien nourrie mais pas à ce point !
Sans ré-humidifier ses doigts il les enfonce dans le vagin et l'anus de Tarra qui pousse un cri plus fort que les précédents.
– C'est encore bien serré tout ça, il commente en enfonçant son pouce plus profondément dans son cul. Et je crois bien qu'on a une petite vierge dans le troupeau. Il met une petite claque sur la fesses droite de Tarra qui pleure encore et se retire. "C'est à mon tour !" je pense en me mettant debout sans attendre ses ordres, j'écarte les cuisses et écarte même mes 2 fesses avec mes mains pour bien lui montrer mon anus; je préfère être docile, de peur qu'il me fasse mal.
– En voilà une petite fille adorable, il me dit en caressant mon derrière. Tu as l'air si fragile... Tu as déjà été pénétrée par là ? Il demande posant son index sur mon anus qui se contracte de crainte.
– Non monsieur, je répond d'une voix tremblante.
– Et par là ? il demande en baissant son doigt sur mon deuxième orifice.
– Non plus.
Avec soulagement je le sens quitter mon entrejambe en me donnant une caresse affective sur mes fesses.
– Je reviendrai demain, nous informe-t-il en fermant la grille métallique après être sorti.
Aussitôt sorti, Tarra éclate en sanglot, moi et Aline nous rapprochons d'elle pour la rassurer, mais que dire dans ces cas là ? On était persuadées d'être libres et de plus jamais être forcées à faire quoi que ce soit, et voilà que d'un seul coup tout change. On est à nouveau emprisonnées, et rien ne nous dit que ce que nous allons vivre ne serra pas pire que ce que nous avons déjà vécu. Le reste de la soirée passe lentement, Tarra a arrêté de pleurer mais les bruits de son ventre indiquent qu'elle a faim. Il faut dire qu'on a rien mangé depuis ce matin; le mangeoire qui est dans l'enclos est vide, je sais pas s'il prévoit de la remplir mais j'imagine qu'il nous ferra pas mourir de faim... Pas la peine de se lamenter plus longtemps; la journée a été longue et celle de demain serra bien pire à mon avis. Tarra s'endort rapidement dans les bras rassurant d'Aline. Moi je m'écarte un peu, j'ai plus envie de sentir le gros corps poisseux de sueur de Tarra contre moi, ni entendre ses ronflements à 2 centimètres de mon oreille. Je me met dos collé au grillage qui nous sépare des cochons. Eux ils dorment déjà... Ils en ont de la chance : ils ont un enclos plus grand que le notre, pourtant ils sont 3 eux aussi; ils ont un mangeoire remplie de bouillie marron avec des grains blancs, nous c'est vide; ils ont de la boue sur le sol de leur enclos, nous on a de la paille qui gratte les fesses; ils sont habitués à l'odeur des excréments, nous on doit presque se boucher le nez; et puis eux ils peuvent être sales autant qu'ils veulent, on leur dira rien...
C'est avec ce sentiment d'injustice que je m'endors.
...
Je me réveille avec la fente humide. Au départ je crois que c'est Aline qui profite de mon sommeil pour explorer mon intimité. Sauf qu'Aline dort en face de moi aux cotés de Tarra qui ronfle la bouche ouverte. Et puis, je suis dos à la grille... Ah! C'est un cochon! J'écarte rapidement mon bassin de la grille et essuie le mouillé de mon entrejambe. Un cochon était en train de me lécher ma petite chatte! C'est le plus grand des trois, il a l'air d'être plus gros que Tarra et Aline réunies! Il a la peau toute grise avec un long museau un peu plus sombre... et il a un peu de cyprine sur le bout du nez; ça voudrait dire que ce qu'il m'a fait m'a excité?! Pourtant je suis une petite fille, et c'est un cochon, je devrais pas être excitée... Je rapproche mon bassin du grillage; après tout, mes 2 amis dorment, personne le saura. L'animal recolle son groin entre les barres de la grille, pile sur ma fente. Ça fait un bien fou ! C'est chaud, un peu collant, parfait! Tout à coup je me sens excitée comme une puce, il faut que j'me touche ! D'un geste violent je colle ma main droite sur ma vulve, par accident je gifle le museau du cochon qui recule vivement en poussant un petit grognement.
– Oh désolé petit cochon, je dis précipitamment en lui caressant le groin là où je l'ai frappé.
C'est bizarre, j'ai un peu de compassion pour cet animal, j'ai envie de lui faire plaisir tout à coup... Je me retourne et colle mes fesses entre les barreaux de l'enclos, aussitôt il s'immisce dans ma raie et caresse mon petit trou avec sa langue, c'est très chaud, comme lorsque je fais caca... sauf que rien n'est sali. Cette fois il n'y a pas d'obstacle pour m'empêcher de me toucher et les étoiles arrivent à peine mon clitoris effleuré. Je retiens mes cris mais je laisse quand même échapper des petits "ha..." de contentement. Le cochon a pas l'air de vouloir s'arrêter mais moi j'en peux plus; je m'allonge dos à la grille, comme ça il peut continuer de me lécher et moi je peux me rendormir...
...
Je suis réveillée par Tarra et Aline qui discutent :
– Tu devrais pas manger ça, c'est dégoûtant! dit Aline.
– Je m'en fiche! j'ai trop faim!
Je me lève et m'approche de mes amis, elles sont toutes les deux autour du mangeoire, Tarra à la tête dedans, en train de... manger !
– Il y a quelque chose à manger!? Je demande au bord de l'euphorie.
Je n'attends pas leur réponse et regarde par moi même: c'est la même patte bizarre qu'il y a dans l'enclos des cochons, une patte avec des petits grains; ça a vaguement une odeur de pomme de terre, rien d'irrespirable en tout cas; et puis Tarra a pas l'air de trouver ça mauvais, je devrais même me dépêcher sinon elle va tout manger!
...
Ça à l'air d'être de la pomme de terre broyée, les grains ont pas de goût, c'est pas spécialement mauvais en fait... Je me retrouve rapidement comme Tarra, le visage plongé dans la nourriture
– On dirait 2 petites cochonnes qui ont pas mangé depuis 3 jours ! se moque Aline.
– Et toi tu manges pas ? je demande, la bouche encore pleine.
– J'ai pas très faim, elle répond en tapotant son ventre. Et puis il faut que je garde la ligne.
Pas très convaincant comme argument, elle doit être malade ou quelque chose comme ça. C'est pas ça qui m'empêchera de manger. Je meurs de faim!
...
Il ouvre la porte de l'étable, puis celles des enclos pour faire sortir les animaux dehors, comme on est au fond c'est notre porte qu'il ouvre en dernier.
– Aujourd'hui je veux voir si ça vaut le coup de vous garder, il nous explique. On commence par la plus ouverte.
Il enlève la chaîne attachée au pied d'Aline et la fait sortir, celle-ci se montre très docile et ne tente pas de s'échapper ou de se débattre. Moi je suis un peu inquiète, l'homme est pas l'air très gros mais je sens qu'il va quand même faire mal à ma copine... Il ouvre l'enclos d'en face, celui où il y a un cheval, il fait entrer Aline à l'intérieur et va aussi chercher une espèce de banc à l'entrée de l'étable pour le mettre dans l'enclos : c'est une assez grande bûche élevée par 4 pieds en métal. J'ai du mal à comprendre ce qu'il veut faire avec tout ça, mais je vais bientôt le découvrir. Il accroche Aline au banc et sors de sa poche un flacon avec du liquide transparent à l'intérieur.
– Je suppose que t'as jamais été baisée par un cheval? il demande en étalant le liquide entre les lèvres de son sexe. Ça va changer aujourd'hui!
Non ! C'est impossible qu'un cheval comme celui-ci puisse mettre son zizi dans Aline! Pourtant elle proteste pas, elle est totalement résignée et soumise! Le cheval a l'air de s'agiter un peu, il doit savoir ce qui l'attend parce que son sexe commence à grossir en dessous de lui. J'ai déjà vu des sexes de chien mais jamais des sexes aussi gros que celui d'un cheval! L'homme a commencé à faire entrer ses doigts dans le sexe d'Aline, de là où je suis je crois qu'il en a mit 4, mais son dos cache une grande partie de ce qu'il fait. Je le vois enlever sa main et conduire le cheval derrière Aline, son sexe est pile à la hauteur de son bassin, et qu'est-ce qu'il est grand. Il doit faire au moins 30 centimètres et la largeur de mon poing!
– T'inquiète pas, il dit en se tournant vers moi pour me rassurer, t'auras pas à subir ça, je suis sûr qu'on te trouvera un animal plus à ta convenance...
Je frissonne à l'idée de faire l'amour à un animal, ça m'inspire du dégoût et de la crainte. Tarra aussi à l'air effrayée, mais elle ne cherche pas à regarder la scène qui se déroule dans l'enclos d'en face, elle cache son visage comme si elle avait peur.
– Allez on y va, dit l'homme en tapotant les fesses d'Aline.
Il fait avancer le cheval jusqu'à ce que son sexe touche le derrière de l'adolescente. Et il frotte le zizi du cheval sur sa chatte toute mouillée. Le cheval commence à hennir, comme s'il était impatient de baiser Aline. Il commence à avancer de lui même et il bute sur la vulve sans trouver le trou. Ses avancés se font violentes et maladroites et c'est l'homme qui doit guider le sexe pour l'ultime poussée qui fait entrer le sexe à l'intérieur d'Aline. Elle pousse un terrible cri de douleur C'est la première fois de ma vie que je l'entends crier comme ça, d'habitude elle ne dit rien ou elle fait semblant d'aimer ça. J'ai presque mal pour elle, mais ça n'empêche pas le cheval de continuer à s'enfoncer de plus en plus profondément. Aline pousse des petits cris à chaque fois que l'animal s'avance. J'en peux plus! Je me cache le visage comme Tarra en attendant que ça se termine. J'ai peur que ça lui fasse trop mal et qu'elle soit très blessée... ou pire. Est-ce que le fermier a l'intention de nous tuer?
– Lève-toi, c'est à ton tour.
Je sens une main me toucher le pied pour me détacher ma chaîne mais j'ose pas ouvrir les yeux. Ça l'énerve et il me met une claque sur la fesse gauche qui me fait sursauter.
– Bouge toi! il m'ordonne sèchement, t'as de la chance tu souffriras pas aujourd'hui.
C'est vrai?! Ou alors c'est un mensonge pour que je bouge... La douleur sur mon petit derrière me rappelle que j'ai pas le choix et je me lève, soumise. Tarra est encore recroquevillée dans un coin, les mains cachant son visage, et Aline n'en a pas finit avec le cheval qui continue frénétiquement sa pénétration.
L'homme me fait signe de le suivre, nous quittons l'enclos, puis l'étable.
Dehors, le soleil est déjà très haut, on doit être en début d'après-midi. Presque tout les animaux sont dehors, les vaches sont dans le pré avec les chevals, et les cochons sont dans la cour. Il y en a un qui s'approche de moi : c'est le plus gros, celui qui m'a léché hier. Il essaye de renifler entre mes jambes et je dois l'écarter avec mes mains. L'homme me fait un sourire bizarre:
– Tu peux te laisser faire, il me dit. Il te mangera pas, du moins pas au sens "propre" du terme.
Il rit à sa blague, je devrais rire aussi mais ce double sens me trouble... On entre dans la maison et il m'emmène jusque dans un grand bureau. Il me fait asseoir sur une chaise de l'autre coté du bureau, en face de lui, et allume l'écran de son ordinateur.
– J'ai quelques quelques questions à te poser, il me dit en fouillant dans un tiroir. Et tu vas y répondre gentiment.
Il sort du tiroir une culotte, une culotte que je reconnaîtrais entre mille rien qu'à l'odeur qui en émane. Ça me donne une bouffée de chaleur désagréable, avec mes joues qui rougissent, j'identifie facilement ce sentiment à celui de la honte.
– C'est bien ta culotte ? il demande en la prenant entre 2 doigts et en me la mettant à 2 centimètres de mon nez.
– Oui monsieur, je réponds en fronçant le nez à cause de l'odeur.
– Bien... Parle moi de ce qu'on te faisait au château, et je saurais si tu mens, il dit d'un ton menaçant.
– Ben... Il y a des gens qui m'ont fait sucer leur sexe... ou ils m'enfonçaient leurs doigts dans mon sexe ou dans mon... dans mes fesses, je balbutie, honteuse.
– Et pourquoi ta culotte est dans cet état, il me demande en montrant les traînées brunes qui n'avaient pas toutes disparues dans l'eau.
– Heu... Au château ils me laissaient pas la laver souvent... donc je la porte depuis 1 mois...
Je deviens de plus en plus rouge et je commence à trembler.
– Et toi ils te laissaient te laver?
– N...Nan, je dis d'une toute petite voix.
– On t'as déjà demandé de faire des trucs avec tes 2 copines?
– Heu... Une fois j'ai léché Aline entre les jambes pour que... pour qu'elle ai un orgamse.
– Et toi t'as déjà eu un... orgamse? il me demande en souriant.
– Non, je réponds, un peu trop vivement.
Cette fois-ci il rigole pour de vrai, ça me met encore plus mal à l'aise.
– En plus d'être une petite cochonne, t'es une petite menteuse! Tu sais, il me dit en reprenant son sérieux, au départ je pensais toutes vous renvoyer chez votre maître, les filles de chez Albert ne m'intéresse pas en général. Mais il se trouve que tu es une petite fille assez...spéciale.
– Ah bon ? je dis un peu flattée. Spéciale comment ?
Il cherche quelque chose sur son ordinateur et tourne l'écran vers moi.
– ...
– J'aurais dû te prévenir que les enclos étaient filmés la nuit; je m'attendais pas à ce que tu sois... comme ça.
– ...
– Je comprends que tu sois choquée, je l'ai été aussi ce matin quand j'ai vu ça. On croit que la plus jeune est la plus innocente et on a des surprises!
– ...
– Hè, tu pleures? Mais il faut pas avoir honte ma puce, tu as aimé ce que tu as fait, c'est ce qui compte, non?... Allez, essuie tes larmes. Je vais te donner un chocolat chaud et tu vas aller jouer dans la cour.
...
...
Je me sens un peu mieux maintenant, j'ai bu mon chocolat dans le grand bureau, en fixant ma culotte sale. Je l'ai pas remise, je m'en fiche. Maintenant je marche vers la cour, je crois que j'ai entendu Tarra entrer dans la maison tout à l'heure, mais je l'ai pas vu, l'homme l'a pas emmenée dans le bureau... Je me sens beaucoup mieux maintenant! Je sais pas ce qu'il y avait dans ce chocolat mais j'ai envie de me défouler! En sortant de la maison je me tripote l'entre-jambe, de toutes façons personne me voit, et puis du moment que ça me fait du bien. Dans la cour rien n'a changé, le cochon est toujours là et vient vers moi dès qu'il m'aperçoit. Lui il est gentil, il veut me faire du bien même si c'est un animal. Je me rapproche aussi de lui pour lui caresser la tête, il parait que les cochons sont agressifs, mais je le trouve très calme, il fait rien pour se soustraire à ma caresse. Je prends plus de confiance et ma main passe sur son dos... son flanc... son ventre... Il doit aimer ce que j'lui fait parce qu'il s'agite beaucoup, je vois même son sexe s'agrandir en dessous de lui. Je le caresse lui aussi, avec des vas et viens, c'est comme au château, sauf que cette fois ça fait du bien. Son sexe est très gros, moins gros que celui du cheval de l'étable, mais plus gros que ceux que j'ai déjà vu au château... Ça ferra mal... mais je me sens prête. Je m'accroupis pour me rapprocher de ce qui est devenue un objet de désir pour moi. L'odeur est forte, pourtant elle me dégoûte pas, au contraire, on dirait la mienne. Je donne quelques coups de langue sur le bout : c'est chaud, ça me rappelle l'odeur de mon entrejambe quand je transpire le soir. Il donne un petit coup de rein qui enfonce son sexe dans ma bouche, mais je veux pas le sucer. Je veux lui faire plaisir et lui offrir ce que toutes les filles doivent offrir à leur amoureux.
Je me retourne, je sens que ma chatte est toute mouillée et il le sent aussi parce qu'il plonge immédiatement le museau dedans, et cette fois-ci les barrières sont pas là pour nous séparer. Les petits guillis reviennent... Nan! Je dois pas faire ça! Je veux pas jouir comme ça. Je me recule pour avoir son ventre totalement sur moi, parce que je veux jouir avec son sexe à l'intérieur du mien, je veux jouir comme une truie jouirait. Je cambre mon dos pour que ses pieds touchent le sol et que ça limite le poids de son corps sur moi. Je l'aide à positionner son sexe entre mes lèvres; Aline m'a dit que le dépucelage est un moment mémorable de la vie. Et ça m'arrive à moi, maintenant! Je sens sa bite glisser dans mon petit orifice, il est assez calme je trouve, c'est parce qu'il sait ce que la première fois représente pour une fille, il pousse des petits grognements de joie. Je me recule un peu, la sensation est divine ! Ça n'a rien à voir avec mes doigts. Je m'arrête. Pour lui laisser la satisfaction et l'honneur de donner les dernier coup de reins qui m'enlèvera mon hymen. Ah! ça y est, je le sens glisser, oh! c'est bon! Je sens les petites étincelles à l'intérieur de mon ventre! C'est trop bon! C'est trop bon! Oh oui! Cet orgamse c'est le meilleur de ma vie! Et c'est pas la douleur entre mes jambes qui m'empêchera de monter au septième ciel!...
...
...
– Écarte-toi, tu vois bien qu'elle est plus en état de baiser.
Je reprends mes esprits, je sens le sexe glisser hors de moi, et rien que ça ça me donne du plaisir. Je respire très fort, ma chatte me fait encore du bien. Un mince filet de liquide coule de mon orifice, c'est que du sang. Le pauvre... il a pas jouit. L'homme me retourne pour me mettre sur le dos, il me sourit:
– Ariane, petite Ariane...T'es vraiment une fille étonnante, même quand je te laisse tranquille tu trouves le moyen de te faire violer.
Je ne dis rien, je le fixe, haletante.
– Ecoute bien, j'ai prévenue Albert que vous étiez là, il vient vous chercher dès demain. Mais tu mérites pas d'être avec cet homme. Alors voilà ce qu'on va faire: au début je prévoyais de te garder dans un enclos quelconque, mais il vaudrait mieux pour toi que tu fuies, Albert se posera pas de question. Tu vas récupérer un peu et je te déposerai ce soir dans la ville la plus proche.
– N... nan.
C'est la première fois que je vois un homme surpris, ça fait bizarre, d'habitude ils sont si sûrs d'eux.
– Je... je veux rester avec... les cochons.
Ma voix est faible mais son expression m'affirme qu'il a comprit.
– Décidément... il dit en souriant. C'est d'accords. Tu vas rester avec tes copines ce soir et après je t'installerai dans l'enclos des cochons.
C'est tout ce que je voulais entendre, je suis super contente maintenant. Mais je suis fatiguée aussi. Je me rendors juste après avoir fermé les yeux.
...
...
Je me réveille le soir, dans l'étable, dans l'enclos des filles. La première chose que je fais et de regarder dans l'enclos voisin : il est là lui aussi, il me regarde avec des yeux tristes, lui aussi il aimerait qu'on soit ensembles en ce moment. Patience... Je me tâte le trou de mon sexe qui n'est plus si petit maintenant, ça ne me fait pas trop mal, c'est juste un tout petit peu irrité; par contre c'est très ouvert. Je jette un coup d'oeil aux alentours : l'homme est en train de rentrer les animaux; et Aline est là aussi, elle est assise les jambes écartées en train de se masser sa vulve toute rougie, surement à cause de la pénétration du cheval. Tarra est beaucoup plus mal en point! Elle est allongée sur la paille, surement évanouie, et des lignes rouges zèbrent tout son dos. Elle a visiblement été fouettée assez violemment, je me rapproche d'elle: elle pue la sueur. Les marques de fouet sont moins visibles sur ses fesses, parce que celles-ci sont intégralement rouges, j'écarte ses fesses et suis stupéfaite de voir l'étendue des dégâts ! Les traces de fouet ont laissées des traînées presque violettes dans la raie de son cul, et son anus est largement ouvert sur 3 centimètres! Je quitte son intimité quand je vois l'homme arriver. Il rentre juste le cheval dans l'enclos d'en face.
– Mangez les filles, il nous dit d'un ton paternelle. Demain sera une longue journée... pour chacune d'entre vous.
Pas la peine de le dire deux fois, j'abandonne Tarra et plonge directement ma tête dans le mangeoire, je meurt tellement de faim que même la nourriture informe me paraît être un repas 5 étoiles.
...
– Tu manges pas? je demande à Aline.
– Nan merci, l'avoine concassée avec des pommes de terre ça donne la diarrhée, et j'ai horreur de ça.
– T'aurais pas pu le dire plus tôt!? je m'écris en pensant à tous ce que j'ai mangé.
Elle ignore ma question et rigole.
– Tu crois qu'elle dort? elle me demande en désignant Tarra.
– Je penses, pourquoi?
– Il faut que je t'avoue quelque chose.
Je suis un peu surprise, les secrets sont rares entre nous...
– Ben, en fait j'ai jamais été enlevée.
– Quoi?!
Surprenant! Elle m'a toujours dit qu'elle était arrivée chez le maître comme moi.
– Alors comment tu t'es retrouvée là-bas? je demande curieuse.
– Quand j'avais 8 ans j'ai fugué de chez moi, et comme j'avais pas d'argent j'ai dû en gagner en couchant avec des adultes. Et un jour j'ai rencontré James. Il m'a proposé d'aller vivre chez le maître et j'ai accepté.
– Tu veux dire que tu faisais l'amour avec des inconnus avant d'avoir été chez le maître ?
– Oui, et j'ai adoré ça, elle m'avoue en souriant, j'adore encore le faire: chaque fois que quelqu'un me force à faire un truc sexuel ça m'excites, je te l'ai pas dit avant parce que j'avais peur que ça te dégoûtes.
– Je peux comprendre, je lui dis pour la rassurer, mais pourquoi tu me le dis maintenant ?
– Parce que d'après le fermier, t'es aussi cochonne que moi, voire pire.
Je rougis dès qu'elle prononce ces mots, mais le pire c'est quand elle montre l'enclos d'à coté.
– Comment ça se fait qu'il t'ai dit ça?! je demande en fronçant les sourcils.
– Parce que je le connais, il est déjà venu au château, d'ailleurs c'est moi qui lui ai demandé s'il me laisserais me faire baiser par un de ses chevaux.
– T'es vraiment incroyable! je dis en riant, j'arrive pas à croire que t'aies voulu te faire baiser par un cheval.
– Franchement j'ai trouvé ça super, elle me dit en se couchant sur la paille à coté de Tarra, il paraît que tu rentres pas avec nous demain, profite bien de ta dernière nuit avec nous, ma petite cochonne.
Je sais qu'elle m'appelle comme ça pour me taquiner, ça m'fait rire. C'est Solène qui m'appelait comme ça, sauf qu'à l'époque j'aimais pas qu'elle le fasse. J'aimerais bien la revoir...
...
Ça y est, elle s'est endormie. Je peux aller à la grille maintenant, mon cochon est là, dans l'enclos où je serai dès demain. Il vient en face de moi, je sens encore des guillis dans ma chatte, ça doit être pour ça que j'arrive pas à dormir. Il pose son museau sur mon nez et renifle fort; ça fait bouger mes cheveux et ça m'fait sursauté, c'est drôle! C'est dommage que les animaux comprennent pas ce qu'on dit; parce que j'aimerais lui dire que je l'aime. Mais je peux que caresser son museau, il y a mieux comme preuve d'amour! Que font les amoureux lorsqu'ils peuvent pas faire l'amour? Étrangement c'est à ce moment là que l'image d'un tableau au château me revient : c'est le tableau qu'il y a dans la salle de bain, comme je me lave pas j'avais tout le temps de le regarder; il représentait un adolescent et une petite fille en train de s'embrasser. S'embrasser... J'approche ma bouche de son museau, sa bouche est un peu en arrière et je sais pas trop comment m'y prendre. Alors j'improvise : je lèche le haut de son nez... la surface de son groin... un peu l'intérieur... ça a le goût de la boue un peu... finalement je tourne légèrement mon visage pour coller ma bouche à la sienne. Je sors ma langue mais il ne sort pas la sienne... Ça veut dire qu'il ne m'aime pas?! Je m'apprêtes à fondre en larme quand une pensée me vient à l'esprit: peut-être que les animaux s'embrassent pas?... Après tout, j'ai jamais vu d'animaux s'embrasser... Et puis s'il m'aimait pas, il m'aurait pas fait l'amour dans la cour. S'il faut faire l'amour pour prouver à quelqu'un qu'on l'aime, ça devra attendre demain...
Mais je suis toujours aussi excitée, il y a plein de liquide qui coule de mon petit trou. J'en prends un peu sur mon doigts pour goûter : ça a un goût de pipi et de sueur mélangés à du sucre, ça fait que m'exciter encore plus! Il faut que je fasse quelque chose!... Mon regard s'arrête sur Tarra, les fesses toutes rouges pointant vers moi. Les paroles d'Aline me reviennent en tête : "profite bien de ta dernière nuit avec nous, ma petite cochonne", t'en fais pas pour ça, je vais en profiter... Je m'approche de Tarra, elle est si vulnérable; mes mains se posent sur ces globes fessiers, c'est très chaud! Et elle fait aucun mouvement, seul son souffle régulier m'indique qu'elle est encore en vie. Son gros cul paraît si attirant maintenant, je comprends pourquoi certaines personnes la préfère à Aline, la forme de son derrière la rend tellement excitante que j'en serais presque jalouse! Je suis peut-être une grosse truie à l'intérieur, mais elle, elle l'est à l'extérieur. Je me demande si un jour elle deviendra aussi sale que moi; ça la rendrait parfaite. À cet instant je m'imagine un animal, mi-fille mi-truie, et cet animal ça serait moi, rien que cette pensée m'excite encore plus qu'avant! J'enfonce mes deux mains dans sa raie des fesses, elle est vulnérable et j'ai bien l'intention d'en profiter! La vallée entre ses deux fesses provoque une incroyable chaleur et je résiste pas à l'envie d'y plonger le visage. Du bout de mon nez je commence le trajet qui part du haut de sa raie, il y a une enivrante odeur de sueur, elle sue comme un porc, ça me rend jalouse ça aussi, moi je sue comme une fille normale! J'ai un frisson lorsque mon nez entre en contact avec ses premiers poils : c'est un signe que son trou du cul n'est pas loin, et puis l'odeur se fait encore plus forte : la sueur se mélange à l'arôme de son petit trou! J'incline un peu plus mon visage et c'est ma bouche qui rencontre sa petite pastille entre-ouverte. Je sors ma langue pour caresser la surface du sphincter et les poils qui l'entourent, le goût est encore pire que l'odeur! Et ça m'excite! J'adore être écoeurante! Et c'est loin d'être fini, ma langue s'aventure maintenant à l'intérieur de son rectum... Ouah! À ce moment je comprends pourquoi Aline fait ça: ce petit canal tout chaud est un trésor de goût et d'odeur. Je crache le plus de salive possible pour qu'elle s'imprègne du goût de ce cratère brûlant et ensuite je ravale le liquide brunâtre, que c'est bon ! Ma jouissance ne m'intéresse même plus, ce que je veux c'est du vrai bonheur, bien moins court qu'un orgamse! Je retire ma langue et commence à sucer ce petit trou comme un nourrisson affamé, je me demande quelle tête ferra le fermier quand il regardera la vidéo de la caméra demain matin. Il verra à quel point je peux faire la cochonne et même lui il serra dégoûté! Oh! Je sens quelque chose de chaud arriver sur ma langue, au début je crois que c'est ma salive, mais la texture est différente, la matière appuie sur mes lèvres et l'odeur nouvelle me permet d'identifier avec excitation mon nouveau partenaire de jeu: elle a la diarrhée! Mais ça ne me dégoûte pas pour autant! Au contraire, j'ouvre mes lèvres pour laisser la merde grasse et puante pénétrer ma bouche. Je me dépêche d'avaler car je sens qu'elle ne s'arrêtera pas! Je tourne ma langue dans ma bouche pour m'imprégner totalement de cette saveur pendant que l'anus continue de déverser cette substance si repoussante comme une fontaine d'eau! Cette grosse truie est en train de me chier dans la bouche, et moi j'avale tout! Et j'aime ça! Je pourrais manger ça toute la nuit... malheureusement la diarrhée cesse peu à peu et j'ai vite fait de terminer le repas, avec une once de dégoût, mais énormément de plaisir! Le goût et l'odeur me montent au cerveau et s'imprime à l'intérieur. Il faut que je jouisse maintenant! Mes mains lâchent ses fesses qui se referment sur mon visage, appliquant leur sueur puante sur mes joues, pour aller entre mes jambes. Je me sens prête à ressentir l'orgamse tant convoité! Ma main droite explore mon clitoris et ma fente pendant que ma main gauche caresse mon trou à caca. Ma langue retourne explorer le rectum de Tarra qui a fini de cracher sa lave brunâtre. Mon index et mon majeur gauches essayent de percer mon trou du cul, avec ma sueur pour unique lubrification. À l'avant c'est plus facile avec toute ma mouille, j'ai déjà 2 doigts qui s'activent dans ma chatte. Il faut que ça se finissent, je sens que si je peux pas libérer tout ce plaisir bloqué en moi je vais exploser! Je pousse très fort avec mes doigts gauches et ils sont avalés par mon anus! C'est le geste de trop : les étoiles reviennent! Je rajoute 2 doigts dans ma chatte pendant que mes deux doigts qui pénètrent mon cul s'enfoncent de plus en plus profondément, ça me fait mal mais je m'en fous! Mes mains s'enfoncent dans mes orifices et ma langue aussi, tout mon visage pousse contre les fesses de Tarra ! Ma langue explore tellement profondément dans son cul que je retrouve des traces de sa merde et le goût qui va avec! Ça arrive! Ça y est! Oh oui! C'est booooooooooooooooon!
...
...
Ça fait depuis combien de temps que suis endormie? Je suis encore entre les fesses de Tarra, avec mes doigts enfoncés dans mes orifices! Je retire rapidement ceux dans mon vagin mais ceux dans mon cul me font mal. La peau de mon rectum a dû être irritée à cause de la violence de ma pénétration. Je pousse comme si je voulais faire caca, et ça marche: mes deux doigts sortent comme deux étrons, et la sensation est super agréable! Ça y est. Ils sont tout deux recouverts d'une couche marron, je sais pas combien de litres d'excrément j'ai mangé aujourd'hui mais je sais que face à ça mes doigts sont des sucreries. Je les lèche avec attention tout les deux. Je trouve que mon caca à meilleur goût que celui de Tarra, j'aimerais bien goûter celui d'Aline pour comparer, mais je suis trop fatiguée, cette orgamse m'a épuisée !... Oh ! Mon cochon me regarde encore, je me demande s'il a compris ce que je venais de faire. Est-ce qu'il pense que je l'ai trompé? Je me rapproche de lui jusqu'à sentir sa respiration sur mon visage.
– T'inquiètes pas, je lui chuchote, t'es mon seul amoureux et ça changera jamais.
Je lui dépose un baiser sur le groin, puis je sors ma langue et je commence à lui laver la totalité du museau. L'odeur est insignifiante face à ce que j'ai mangé tout à l'heure. Il finit par se reculer et se couche pour dormir.
– T'en fais pas, je lui dis pour le rassurer. Demain soir je serai avec toi et ton corps me réchauffera...
Et je m'endors à mon tour, comblée.
...
J'avais oublié à quel point c'est bon de se lever quand on a envie de se lever et de pas être forcée. La première chose que je remarque c'est l'absence des filles, elles ont dû partir plus tôt dans la matinée, je me demande si elle vont me manquer? Le souvenir de l'odeur de Tarra restera dans ma mémoire en tout cas... J'ai un peu mal au ventre, surement à cause de l'avoine, il faut que je fasses caca mais j'ai envi d'attendre d'être dans mon nouvel enclos pour le faire, pour marquer mon territoire... Justement l'homme arrive!
– Enfin tu te réveilles, me dit-il en ouvrant ma grille. Je vais te demander un dernier truc avant te laisser entrer dans l'enclos.
– Quoi? je demande intriguée.
– Quelque chose que tu devrais aimer, j'ai vu le petit spectacle que tu m'as fait cette nuit avec ta copine espagnole, magnifique... Je me suis dit qu'il faudrait que je sois présent pour ton dernier dépucelage.
– Hein? je fais autant choquée par le fait qu'il m'ait vue que par ce qu'il prévoit de faire.
Il s'approche de moi et me détache:
– Aujourd'hui tu donnes ton petit cul à ton mâle, il m'explique en souriant. Sois courageuse, ça devrait pas faire trop mal.
Je hoche la tête, je ne dis rien mais au fond de moi je bouillonne. Pas de peur non, mais d'impatience! Je le suis à 4 pattes jusque devant l'enclos d'à coté. Avant d'ouvrir la grille il se met à ma hauteur et me retire l'anneau qu'il utilisait pour m'attacher.
– T'as plus besoin de ça, il me dit en caressant la tête. Les petites cochonnes savent rester sages et obéissantes.
J'acquiesce de nouveau; je trouve ça assez humiliant la façon dont il me traite, mais ça me dérange pas, ça m'fait plaisir même... Enfin il ouvre la porte et je me précipite à l'intérieur pour serrer mon cochon dans mes bras ! Le sol est tout boueux et ce contact frais additionné à la chaleur que me procure mon petit amoureux me rend super heureuse! Je commence à lui lécher le museau comme hier, et il fait pareil en me donnant de grand coup de langue sur tout mon visage, ça me fait rire!
– Finit de rigoler, dit l'homme en me tapotant les fesses, tu veux que je te lubrifie?
Je fais non de la tête, j'ai envie de sentir son sexe entrer dans mon petit cul, sans aide, naturellement. Et puis je suis trop impatiente pour perdre du temps avec ces trucs! L'homme l'a compris et me met en position, la tête baissée et les fesses en l'air, tout en faisant avancer mon cochon au dessus de moi. C'est à ce moment là que mes mouvements d'estomac se font de nouveau ressentir, comme si mes intestins savaient ce que je veux faire. Je me retiens, pour le moment, j'aime bien me sentir pleine comme ça, et je sais que ça serra encore mieux dans quelques secondes... Je sens le sexe de mon animal frotter entre mes jambes, il a envie de retourner dans ma petite chatte, ça me fait plaisir : c'est une preuve que même s'il a pas jouit la première fois, il veut y retourner pour m'offrir une seconde chance.
– Ne rentre pas dans ce trou là, je lui dis, je veux te faire jouir avec mon petit trou à caca...
Ça fait rire l'homme que je parle à mon amoureux comme ça :
– Il ne peux pas te comprendre ma puce, me dit-il en riant. Si tu veux communiquer avec lui il va falloir utiliser le langage des signes.
L'idée n'est pas bête, un cochon doit être assez intelligent pour comprendre mes gestes... De ma main je prends son sexe et le dirige sur mon petit trou, je pousse sur mon muscle et j'appuie pour lui faire comprendre que c'est par là que je le veux... Ça y est! Il commence à appuyer, je me relaxe et c'est à ce moment qu'une petite giclée de mon caca sort de mon petit trou. Je suis prête à m'excuser mais c'est là que son sexe pénètre dans mon petit trou lubrifié par mon caca. Je veux crier mais aucun son ne vient, je sens sa bite entrer au plus profond de moi, sa bite brûlante qui frotte sur mon sphincter... Et j'adore ça! La douleur est là mais elle est noyée par le plaisir que je reçois! J'suis en train de me faire enculer par mon amoureux!
J'ai envi d'exprimer ma joie, lui dire de s'enfoncer plus vite en moi, lui dire que j'adore ce qu'il me fait! Mais j'y arrive pas, et c'est lui qui va m'aider à trouver les mots: il pousse des grognements de satisfaction, comme lorsqu'il me baisait dans la cour; alors moi aussi je grogne, comme une grosse truie en train de se faire enculer par son mâle! Je pousse des petits cris porcins parce que je suis sûre qu'il peut comprendre ça! Et je pousserais ces petits cris d'animal excitée chaque fois que je devrais lui dire que j'aime ce qu'il me fait!... Ah! Ça y est je sens ses hanches contre mes fesses! Son sexe pousse dans la merde qui est encore en moi, et ça m'exciiiiiiite! C'est trop bon! Ah! Il commence ses coups de reins! Je sens l'orgamse arriver, et nos grognements gagnent en intensité! L'extase arrive lorsque je recommence à pousser et que son sexe s'enfonce encore plus profondément en moi! Tout ce que je sens c'est ce pieux d'acier planté dans ma partie la plus intime, et je couine une dernière fois avant de m'écrouler, ravagée par l'orgamse! Et enfin il me donne le coup de grâce! Lorsque son sexe crache tout son sperme dans mon cul, son sperme qui se mélange avec ma merde...
Je m'écroule par terre, dans la boue, lui il continue ses coups de reins, parce qu'il sait que ça me fait du bien, et qu'il aime me faire du bien. Et je suis presque sûre que c'est ce qu'il me dit en grognant, "Je t'aime Ariane" en langage cochon. Et je grogne comme lui, pour lui répondre... Ça y est, il se retire, et ça m'fait encore du bien lorsque son sexe s'en va, comme si je faisais un très gros caca. D'ailleurs c'est ce qui sort juste après, mon caca. Le flot gras et odorant s'échappe de mon anus pour couler sur mes lèvres, ma merde sur ma vulve me fait comme une caresse. Il y a bientôt une flaque qui se forme entre mes jambes, c'est poisseux, ça m'rend heureuse...
– Je regrette pas de t'avoir gardée, me dit le fermier qui a regardé pendant tout ce temps. T'as gagné ta place dans la porcherie.
Il me tapote à nouveau les fesses, c'est bizarre comme ça fait du bien d'être traitée comme un animal! Je me sens intégrée à la bande maintenant que je me suis offerte à mon cochon! Je me demande si toutes les journées vont être comme celle-ci...
– Je vais nourrir les animaux, si tu veux tu peux sortir dans la cour.
Sortir! Je suis très bien où je suis! Et puis vu comme je viens de faire l'amour, j'ai bien droit à un peu de repos dans ma nouvelle maison. Je vais faire une petite sieste, j'ai aussi un peu envie de faire pipi, mais comme mon caca est déjà entre mes jambes c'est pas grave si en plus je fais pipi, et puis ça rajoutera des odeurs... Mon amoureux me touche le nez avec son groin, il a peut-être peur que je parte bientôt... j'ai envie de lui dire que cette fois je reste, qu'on se séparera plus jamais et je l'aimerai toujours. Mais je suis trop fatiguée pour ça, alors je me contente de lui lécher le bout du museau et de m'endormir, sans penser à rien...

FIN
© Copyright 2012 Zeike (zeike at Writing.Com). All rights reserved.
Writing.Com, its affiliates and syndicates have been granted non-exclusive rights to display this work.
Printed from https://www.writing.com/main/view_item/item_id/1908592-Ariane-Chapitre-3