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by Zeike
Rated: XGC · Other · Erotica · #1943652
Nouvelle érotique écrite en français. Le contenu peut choquer (pédo).
  À peine j'ai les yeux ouverts que je chasse le bras d'Aline de mon torse et me lève rapidement. Il est 8h, on a rien de prévu aujourd'hui à part préparer la fête de ce soir. Mais rien que ça ça risque de prendre du temps. J'en voulais encore à Aline, légitimement d'ailleurs, mais en même temps je voulais pas la laisser seule alors qu'il reste qu'une journée de colo; je sais pas comment elle fait mais je me sens quand même attaché à elle malgré son attitude de gamine. Faut dire que de là où elle vient la notion d'amitié doit être inexistante, je peux pas foncièrement lui en vouloir pour pas savoir se comporter socialement; et puis... Peu importe, j'ai des trucs plus important à faire, à commencer par déjeuner.

En bas c'est encore plus calme que d'habitude, à vrai dire il n'y a qu'une personne dans toute la cantine! Je me prépare un bol de lait et je vais me mettre à côté d'elle:

- Bonjour Charline, t'as bien dormi?

Elle hoche la tête en continuant de manger sa tartine. Elle a les yeux rivés sur moi mais je pense qu'elle est un peu timide, je l'ai pas souvent entendu parler, juste des petits sourires et des gestes de la main, pour dire qu'elle pense à moi.

- Dis-moi, t'aurais aimé être dans mon groupe?

Elle hoche vivement la tête en murmurant un petit "oui".

- Moi aussi, je réponds en passant brièvement ma main brièvement dans ses cheveux. T'es une petite fille très gentille.

Je la vois rougir, je veux pas la mettre mal alors j'arrête là la discussion. Je me demande ce qui ce serait passé si effectivement elle avait été dans mon groupe... Mais je vais pas non plus regretter ma compagnie, mes filles sont toutes uniques et je les remplacerai jamais.

On finit notre déjeuner en silence. 2 ou 3 filles nous rejoignent mais elles ont l'air encore fatiguées; apparemment la plupart ont veillé tard hier. Je sens que je vais pas avoir beaucoup d'aide pour installer le matériel de ce soir... Pourtant Sarah et Camille ont gentiment accepté de m'aider, ça m'a d'ailleurs paru étrange vu leur tendance à la paresse, mais j'vais pas m'en plaindre.

- Pfiou! C'est le bazar ici, commente Camille alors qu'on vient à peine d'entrer dans la salle de spectacle.

- Commencez pas mettre les chaises sur le côté, je leur demande. Je vais m'installer là-bas.

Je pose mon ordinateur sur la table, dans le fond, et met un peu de musique. Il a beau être très performant, mon pc aura besoin d'enceintes pour cracher le son décemment.

- Camille, tu peux aller me chercher une rallonge? Il doit y en avoir une dans la remise.

- J'y vais!

Avant de partir elle chuchote un truc à Sarah que je peux pas entendre. Celle-ci a fini de déplacer les chaises et vient vers moi:

- Il faut que je fasse quoi maintenant? elle demande.

- On a les ballons à gonfler, je lui dis en tendant le sac. J'espère que t'as du souffle car il y en a beaucoup.

Elle ricane et on se met au travail. Elle est pas très bavarde, concentrée dans sa tâche. Alors seule la musique se fait entendre avec en fond le bruit des ballons qui gonflent. Je me rends compte que son regard s'arrête souvent sur moi... du moins c'est ce que j'ai cru. Elle regardait en fait l'ordinateur qui est derrière moi: il a démarré un diapo de mes dernières vacances comme écran de veille... Y'a rien de sexuel dans ces photos, mais ça a tout de même attiré l'attention de Sarah:

- C'est qui elle? elle demande en pointant l'écran.

Elle, c'est Sophie, la femme de ma vie... qui a 9 ans.

- C'est une amie à moi, on était partis en vacances ensembles.

- Une amie? elle me dit, pas sûre de mon honnêteté.

- Une amie très proche, je confesse. On pourrait même dire que je l'aime.

- Mais elle est grosse, elle dit comme si c'était incompatible avec le fait que je l'aime.

- Et alors? C'est une fille géniale, gentille, sensible, et puis... j'aime bien les filles un peu grosses.

- Mais Aline a dit que t'aimais pas!

... Aline... Ça m'étonne à peine qu'elle ait fait ça. Pas étonnant que Sarah soit plus distante que les autres si elle la fait complexer. Quelle conne!

- Et ben tu diras à Aline que je préférerais sortir avec une fille grosse et gentille, plutôt qu'avec elle.

- Alors tu t'en fiches que je sois grosse? elle demande.

- Bien sûr que je m'en fiche, je t'aime comme tu es, et tu as un corps magnifique.

Je cherche aucunement à abuser de son admiration envers moi quand je dis ça. Je sais que ça risque de déborder et en fait je m'en fiche totalement: si ça déborde alors ça débordera; et j'aimerais bien que ça déborde... Elle se rapproche de moi et je la prends dans mes bras. On se fait un long câlin, elle me sert fort, et elle pleure presque de joie. Je devrais peut-être pas, mais j'ai l'impression que c'est Sophie que j'ai dans mes bras; Sophie qui passerait sa vie entière dans mes bras si elle le pouvait, Sophie qui est toujours gênée par son corps trop gros, et Sophie qui a toujours besoin que je lui fasse l'amour pour lui prouver que je l'aime, et ça depuis maintenant 1 an.

- Est-ce que tu vas me faire l'amour? elle me demande, la tête enfouie dans mon torse.

- Seulement si c'est ce que tu veux.

- Je... J'ai peur. Je veux rester vierge mais... ça t'embête dans les fesses?

Elle avait prononcé les derniers mots en chuchotant, et maintenant elle est toute rouge. Comme Sophie, Sarah est encore plus mignonne quand elle rougit, je peux pas lui refuser quoi que ce soit. Sans le vouloir, elle m'a piégé:

- Viens, on va aller dans un endroit plus discret.





  Matinée décevante. Dès le réveil vous réalisez que l'être avec qui vous partagez votre chambre et votre corps n'est plus là! Il doit encore être énervée contre moi à cause d'hier... Je me suis faîte engueulée parce je lui donnais trop de plaisir, c'est incroyable! J'utilise mon sens de la mise en scène et mes capacités sexuelles pour nous offrir une superbe séance de baise au clair de lune, et voilà comment il me remercie...  D'ailleurs voilà Eléonore qui traîne dans les couloirs! J'ai presque envie de lui sauter dessus tellement je la hais!

- Salut Aline, elle me dit innocemment. Tu peux m'aider à trouver Zulie, on l'a perdu.

Incapable de surveiller une gamine handicapée, c'est pas croyable! M'enfin, la retrouver me permettrait de revenir dans les bonnes grâces d'Arthur, j'aurais l'air concernée par le bien être de cette gamine attardée. C'est pas trop tard pour me rattraper en fait.

- D'accord je vais t'aider, je réponds avec un grand sourire.

- Merci c'est super zentil! On zouait en bas quand ze l'ai perdue.

- Alors c'est là qu'on va chercher.

On descend rapidement les escaliers. En bas il y a pas grand monde, les filles sont pour la plupart dehors avec Sabrina et Rebecca; et ce pauvre Arthur qui cherchait de l'aide pour préparer la fête...

- La voilà! s'écrie Eléonore en pointant du doigt la fillette qui venait d'entrer dans la remise.

- Bouge pas, je vais le chercher, je dis à Eléonore en pénétrant dans la pièce.

...

C'est le bordel là-dedans: des tonnes d'objets sont empilés dans tout les sens, on en voit pas le bout!

J'entends un bruit dans le fond, ça m'étonnerait pas que la mioche se soit fourrer dans un placard ou une caisse... Allez en avant!

"Clac!"

J'ai juste le temps de me retourner pour voir Julie sortir en vitesse. Puis un bruit de clé se fait entendre de l'autre côté. Je tente d'ouvrir la porte et réalise le piège sournois.

- Piégée! crie Julie comme si je m'en étais pas rendue compte par moi même.

- Eléonore, ouvre! je hurle, folle de rage.

- C'est une venzance pour avoir fait l'amour à Arthur! elle m'explique en rigolant.

- T'as intérêt d'ouvrir tout de suite sinon je vais vous tuer!

...Pas de réponse. Elles se sont tirés ces garces! Putain de bordel de merde, enfermée dans la remise! Quelle journée de merde.

- C'est quoi tout ce bruit?

- Ah!

Merde, c'est juste Camille.

- Qu'est-ce que tu fous là toi?! je demande en reprenant mon souffle.

- Arthur a besoin d'une rallonge pour les enceintes. Et toi?

- Eléonore et Julie viennent de m'enfermer, je sais pas où elles ont chopé la clef mais...

- Ah merde les connes, elles auraient pu me prévenir qu'elles le faisaient maintenant!

- Quoi?

- Ben ouai, hier je lui ai lancée le défi de t'enfermer dans la remise. Mais elle savait pas que j'étais dedans...

- Vous êtes vraiment qu'une bande de salopes! je m'écris.

- Pas la peine de m'insulter, actuellement on est toutes les deux au même point, elle réplique.

Je réponds pas et je m'assoies à côté d'elle sur le tapis de gym qui traîne par terre.

- Je pensais pas qu'elle oserait, c'est bien joué de sa part.

- Oh ta gueule, je réplique. Si on est là c'est de ta faute!

- À vrai dire, si je l'ai mise au défi de t'enfermer dans la remise c'est principalement à cause de toi. Parce que t'es odieuse avec tout le monde.

- Moi!? je m'indigne. Je me souviens pas t'avoir fait quoi que ce soit.

Elle a pas l'air convaincue et dirige son regard sur ses pieds seulement couverts par des chaussettes trouées.

- J'suis pas conne, je vois bien comment tu me regardes. Des filles comme toi j'en connais plein: vous jugez sur les apparences et vous osez même pas m'approcher comme si ma mocheté était contagieuse.

Je peux pas dire le contraire; son visage, ses fesses, ses jambes, tout est grossier chez elle. C'est à se demander pourquoi elle est pas encore dépressive... ou émo.

- C'est quand même pas de ma faute si tu corresponds pas à mon modèle féminin, je soupire. Et puis vous m'intéressez pas, vous êtes trop immatures.

- On voit que tu me connais mal, elle ricane.

- Je pense pouvoir cerner facilement les gens, alors t'es immature jusqu'à preuve du contraire.

Je suis sérieuse, je lis dans les gens comme dans un livre, sauf que les gens sont souvent plus intéressants que les  bouquins. C'est sûrement pour ça que ce qu'elle a fait ensuite m'a énormément surprise. Elle se cramponne à mes épaules et m'allonge sur le tapis de gym! Puis elle s'assoit sur mon ventre pour m'empêcher de bouger.

- Peut-être que t'es plus vive que je le pensais, je concède. Et maintenant?

- Maintenant je vais faire un truc que je veux faire depuis le début de cette colo.

Ces mains passent derrière son dos, et je les sens détacher le bouton de mon short:

- Oh nan, je soupire. Même toi t'es pas assez tarée pour faire ça.

- Je t'avais dit que tu me connaissais mal, elle ricane en jetant mon short au loin. J'étais sûre que tu porterais pas de culotte.

- Question de confort, je lui explique. J'aime me sentir à l'aise.

Je veux pas m'affoler ou même m'énerver, ça lui ferait trop plaisir. Et puis d'un autre côté je suis curieuse de voir comment la situation va évoluer. Et elle évolue! Je sens ses doigts recouvrir mon sexe, le pouce sur mon clitoris et l'index entre mes lèvres, cherchant à entrer dans mon intimité. Pour la première fois de ma vie je sais plus quoi faire: pour sûr ça fait du bien, des doigts qui s'agitent sur ta petite chatte ça fait toujours du bien; mais en même temps c'est Camille... je ressens aucune attirance pour cette fille, pourtant je peux pas nier qu'elle sait s'y prendre, c'est clairement pas la première fois qu'elle fait ça.

- Alors, tu dis plus rien?

- T'imagines pas tout les problèmes que tu peux avoir en faisant ce que tu fais, je lui dis incertaine.

- Tu diras rien du tout, personne croira qu'une salope comme toi était pas consentante!

- T'es vache sur ce coup... je lui reproche. Bon allez au point où j'en suis, continue.

Elle a pas besoin de se le faire dire 2 fois. Son index s'enfonce encore plus dans mon petit conduit et elle joint son majeur à l'entrée. C'est aucunement douloureux, j'ai l'habitude, et son pouce qui caresse mon clito... c'est juste divin, elle sait comment faire plaisir à une femme. Je peux pas m'empêcher de laisser échapper des soupirs de plaisir.

- Je savais que t'aimerais ça, elle me dit en se penchant en avant.

- Je t'arrêtes tout de suite, t'as le droit de me masturber autant que tu veux mais tu m'embrasses pas.

- Alors dans ce cas... elle dit en retirant ses doigts.

- T'as pas le droit de me laisser comme ça! je me plains, t'étais bien partie en plus......... Bon d'accord.

Je la laisse m'embrasser pour cette fois, je lui dois bien ça. Ses lèvres entre contact avec les miennes, elle écarte ses cuisses et passe ses mains devant elle pour accéder plus facilement à mon sexe. Nos langues se mêlent, et encore une fois je dois bien avouer que c'est une pro: la reine des lesbiennes! Si j'étais plus précoce j'aurais pu jouir rien qu'avec sa langue s'agitant dans ma bouche. Du côté du bas elle attaque un peu plus. Je sens son auriculaire descendre entre mes fesses pour venir caresser mon anus; je la laisse faire, parce qu'elle le fait bien. Elle commence les vas et viens dans ma chatte et en même temps elle s'enfonce dans mon petit trou, tout doucement, elle appuie assez fort pour me procurer du plaisir continuellement et assez lentement pour faire durer ce plaisir. Putain qu'est-ce qu'elle est bonne! Et nos langues qui dansent ensembles, c'est que du bonheur.

Pour la première fois depuis de ma vie, je regrette de pas avoir pris le temps de connaître quelqu'un.





  J'ai encore du mal à y croire, pourtant ça y est, on monte les escaliers, il m'emmène dans sa chambre. J'ai des noeuds dans le ventre, sûrement à cause du stress, au fond de moi j'ai peur qu'il change d'avis au dernier moment, qu'il réalise à quel point je le mérite pas... pourtant nous voilà devant sa chambre, il ouvre la porte et me fait entrer en première; ça sent bon ici... Je m'allonge sur le lit et je réalise que c'est là qu'Aline dors depuis quelques jours avec lui, et tout à coup je me sens encore plus insignifiante qu'avant face à elle.

- T'es sûre que ça va? me demande Arthur en passant sa main sur mon épaule.

Je murmure un petit "heu... oui", je suis toute rouge, et je regrette presque d'être là.... Il ferme la porte à clé et s'assoit à côté de moi.

- Je préfère éviter qu'Aline nous surprenne, il m'explique.

Je comprends, elle serait jalouse, moi j'étais jalouse lorsque je l'ai vu lui faire l'amour. Il faut que je sache:

- Pour... Pourquoi tu lui as fais l'amour? Et... et pas à moi en première.

Je pleure presque, je me sens ridicule, comme une gamine qui fait son caprice, mais je veux savoir. Cette fois il passe sa main sur mon ventre:

- J'ai fais une erreur, il me dit. Et je suis désolé. Je me suis pas rendu compte qu'Aline te faisait du mal. Je veux me faire pardonner pour ça.

- Alors tu me fais l'amour juste pour me faire plaisir?

- Bien sûr que non, je t'apprécie énormément et tu es très belle.

- Mais j'suis grosse, je soupire parce que je sais qu'il dit ça seulement pour me rassurer.

- C'est faux, il répond en passant sa main sous mon T-shirt. T'as juste plus de rondeurs que les autres filles de ton âge, tu mûries plus vite.

- Tu sais très bien que c'est pas vrai. Mes fesses et mes seins sont super gros par rapport au reste. Et puis mes cheveux...

- Pas du tout. Tes fesses sont adorables, c'est ce qui m'attire le plus chez toi après ton visage. T'as peut-être beaucoup de cheveux mais c'est pas moche non plus, ça te donne un petit côté sauvage. Et puis tes seins ont une taille parfaite.

En disant ça il fait remonté sa main sous mon T-shirt jusqu'à ma poitrine qu'il commence à caresser. J'ai envie de parler encore de mes défauts, juste pour qu'il me complimente et me console. J'ai jamais réalisé à quel point il me fait me sentir en sécurité, j'aimerais tant qu'il soit mon grand frère.

Mais en ce moment c'est plus mon amoureux que mon grand frère, je peux pas rester plus longtemps indifférente à ses caresses: au contact de ses mains le bout de mes seins envoie des étincelles dans tout mon corps; je prends seulement conscience maintenant du plaisir que ça peut procurer! Je m'abandonne totalement: mon corps tombe lourdement sur le lit, j'ai envie de laisser Arthur faire, de redevenir une petite fille qui laisse faire sans agir.

- Vas-y, je murmure sans vraiment savoir pourquoi.

Je lève les bras, il comprend que je veux qu'il me déshabille. Il soulève mon T-shirt, puis décroche mon soutient-gorge à l'aveuglette... C'est là que l'épreuve commence: il pose ses lèvres contre les miennes et je fais entrer ma langue dans sa bouche, pour lui montrer que je suis confiante, mais au fond de moi je ne sens que ses mains qui déboutonnent mon pantalon, il va bientôt entrer en contact avec mon intimité, voir, toucher, sentir... J'ai une brusque envie de faire demi-tour, d'abandonner, mais c'est impossible je le sais.

Il finit par poser mon pantalon au bout du lit, il voit ma culotte maintenant, je ferme les yeux, pour échapper à la réalité.

- T'as une très belle culotte, il me dit en caressant mes cuisses. J'aime bien le violet.

Le violet?! C'est vrai! J'ai échangé ma culotte avec Camille. Ça pourrait peut-être me sauver puisqu'elle est plus propre que la mienne... Mais ça fait que reculer l’inévitable: je suis sale et il le verra.

Il caresse ma fente à travers le tissu de la culotte, ça me procure un plaisir certain, mais... Ça y est, il prend les côtés de ma culotte et l'abaisse tout doucement. Une fois mon sexe totalement découvert, il ne perd pas de temps et y dépose tout de suite un bisou, puis un coup de langue juste sur mon clitoris.

- Oh... ah....

- J'adore ton odeur, dit-il entre 2 coups de langue.

- Les poils et la transpiration te dérangent pas? je chuchote.

- Pas du tout, il me dit en prenant le temps de me lancer un regard charmeur.

Je murmure un petit "merci". Je le laisse faire désormais, sa langue fait des allers-retours entre mon petit bouton et l'entrée de mon vagin. Il se souvient que je veux rester vierge parce qu'il ne cherche pas à me pénétrer, juste passer dessus. Je commence à mouiller et la cyprine coule tout doucement entre mes fesses jusqu'à mon anus. Finalement il me dit de me retourner. J'obéis sans discuter, même si au fond de moi j'ai vraiment peur. Me voilà donc à plat-ventre, présentant mon derrière à Arthur qui dans quelque minutes rentrera dedans s'il n'est pas dégoûté avant...

- T'es fesses sont encore plus belles lorsque t'es toute nue, il me dit en les caressant.

La façon dont il me caresse les fesses est vraiment bizarre: il les prends à pleines mains et les malaxe comme lorsqu'on pétrit de la pâte. J'ai l'impression qu'il joue avec, mais... c'est pas tellement désagréable.

- Ça t'embête pas que je sois sale... là? je demande d'une toute petite voix.

Il ne me répond pas tout de suite, d'abords il écarte mes fesses et ses pouces viennent caresser le fond de ma raie, pleine de poils, de sueur et de...

- Si ça te déranges pas, ça me dérange pas non plus, il me répond.

Je m'attendais pas à cette réponse... mais c'est pas grave. Je hoche la tête pour l'approuver, et il passe une seconde fois ses pouces dans ma raie mais cette fois il reprend en caressant mes fesses et je sens les traces sales s'étaler sur mes fesses. Est-ce que lui aussi il aime ces choses là? Je sais pas, il a l'air si gentil et intelligent, il peut pas être comme ça.

- T'es prête?

- Ou... Oui vas-y.

- Tu préfères que je mette un peu de lubrifiant où ça ira?

- Heu... ça ira c'est bon.

J'ai transpiré énormément et ses caresses ont rendu mon petit trou très humide, et puis je veux pas de lubrifiant parce que... je ne veux sentir que lui à l'intérieur de moi. Je tourne ma tête le temps qu'il retire ses habits lui aussi: il est un peu musclé, mais ce qui m'intéresse la plus c'est ce qu'il y a entre ses jambes, j'avais déjà vu des sexes sur Internet, mais jamais en vrai, c'est assez gros, mais je pense que ça peut rentrer dans mes fesses, j'ai déjà fait des cacas plus gros que ça...

- Tu peux lever tes fesses s'il te plaît? Ça sera plus facile pour moi.

J'obéis, je me remets sur mes genoux et je me penche le plus en avant possible, jambes écartées avec ma tête entre mes bras, la position est pas la plus confortable mais ça va. Ce qui m'embête le plus c'est que comme ça il a une vue sur tout ma raie des fesse et ma chatte, même s'il a dit que la saleté le dérange pas, je me sens honteuse comme ça. Allez courage... Il faut que je pense au plaisir, rien que le plaisir qu'il va me donner. Son sexe entre en contact avec la haut de mes fesses: c'est plus dur que ce que je pensais, il descend très lentement dans ma raie, je fais de mon mieux pour ne pas penser au caca qu'il doit récolter sur le bout de sons sexe et simplement au plaisir, juste le plaisir... Ça y est sa queue est posée sur mon anus, il n'a plus qu'à pousser. Les mots de Camille me reviennent à l'esprit: "Perverse comme tu es, t'aurais déjà dû t'enfoncer des trucs ici."; ça va être la première fois qu'un corps étranger me pénétrera, ma première fois...

- On y va? il demande, les mains toujours sur mes fesses.

- À 3, je réponds.

"1...2..." Je pousse un peu, lui aussi et je le sens entrer en moi! La sensation est si puissante! Centimètres par centimètres, son sexe pénètre dans mon rectum tout doucement, je sens la dilatation, comme lorsque je fais caca sauf que cette fois ça rentre, mais ça fait autant de plaisir.

- Ça va? il me demande une fois son sexe totalement enfoncé.

- C'est... waouh... continue s'il te plait.

Je sais vraiment pas quoi dire, cette sensation c'est juste... divin! Mais le meilleur arrive lorsqu'il recule et que son sexe sort tout aussi lentement qu'il est entré.

"Oh oui! Oooooh c'est bon!" je souffle en respirant de plus en plus bruyamment. Une fois totalement sorti, il ne rentre pas tout de suite, il prend le temps de passer ses mains dans mon dos, puis il les ramène vers mes fesses.

- T'as l'air de vraiment aimer ça, il chuchote en se penchant vers moi. C'est ta première fois?

- Oui. Je... j'adore. T'arrête pas s'il te plait!

Il me dépose un bisou dans le cou puis il murmure quelque chose d'incroyable: "petite cochonne". Quelque chose d'incroyable car ces mots... me font plaisir. Je peux pas l'expliquer mais je me sens réellement comme une petite cochonne à ce moment là, mais cette fois-ci j'éprouve aucune honte, c'est ce que je suis, c'est comme ça, et ses mots résonnent dans ma tête, un écho qui redescend jusque dans mon ventre et plus bas... Ça y est! Il se renfonce, son sexe fait son retour dans mon intimité anale et le plaisir revient lui aussi! C'est si bon... Cette tige qui rentre et qui sort; cette fois il ne s'arrête plus et commence les vas-et-viens interminables qui me mèneront à l'orgasme. Et ça ne va pas tarder: chaque coup de reins m'arrache un soupir de plaisir plus fort que le précédent. Arthur doit le sentir parce qu'il va de plus en plus vite.

"Ooooh.... Oui continue ça fait trop du bien!". L'orgasme arrive ça y est! Arthur prends mes fesses à pleine mains et les fait bouger au rythme de ses coups de reins, je me sens totalement possédée, et j'adore ça!

- Tu veux que je termine? il me demande.

- Ou... oui, je veux jouir! Je... J'suis ta petite cochonne!

Je sais pas pourquoi j'ai dit ça. Mais ça me fait un bien fou! Les étincelles arrivent ça y est! C'est même plus que des étincelles, c'est un orage dans mon ventre qui éclate et répand sa chaleur bienfaisante dans tout mon ventre.

"Ouiiiiiii!"

Je m'écroule. Arthur continue ses coups de rien à l'intérieur de mon petit trou, puis je le sens éjaculer dans mon rectum, ça fait durer mon plaisir: il m'aime. Rien que de le sentir caresser mes cheveux et mon corps... je pleure presque de joie.

- Merci.

- C'est moi qui te remercie, il répond. J'ai rarement pris autant de plaisir, sérieusement.

Ça rend heureuse qu'il dise ça, je me sens flattée même si je sais pas si j'y suis pour quelque chose... Il retire son sexe, cette sortie aussi fait du bien, elle est juste un peu... poisseuse. Je me retourne et je comprends pourquoi: son sexe est tout marron!

- Oh! Je suis vraiment désolée! je m'affole. Je savais pas que j'avais envie de...

Il m'interrompt avec un bisou sur la bouche:

- C'est pas grave, c'est des choses qui arrivent, on va prendre une douche. Tu devrais allez aux toilettes avant.

Je réponds pas. On file dans la salle de bain et je m'enferme dans la cabine des toilettes. Son sexe m'a donné envie de faire caca, et apparemment j'en ai beaucoup car je sens beaucoup de résidus entre mes fesses. Je m'assois sur la cuvette et j'expulse tout en un rien de temps! D'habitude je prends du plaisir à faire caca mais là... J'ai l'anus un peu sensibles, et puis savoir qu'Arthur peut m'entendre me rappelle l'extrême humiliation que je subi. Je me sens si mal de l'avoir sali, il doit me trouver crade!

Une fois totalement vidée, je tire la chasse et rejoint Arthur dans la douche, pas la peine de m'essuyer puisque je vais me laver. Lorsque j'entre il est en train de retirer les dernières traces de caca sur sa queue:

- Je suis vraiment désolée, je dis en sanglotant presque. J'suis vraiment trop sale...

- Arrête de dire ça, c'est juste un accident.

- Nan tu comprends pas... J'suis vraiment sale, j'suis une cochonne et... j'aime...

J'arrive pas à finir, j'ai envie de me confier mais je suis morte de honte! Il me fait signe d'approcher et je plonge dans ses bras.

- Je m'en fiche que tu sois sale, il me dit en m'embrassant sur le front. En fait, je crois que c'est ce que j'aime le plus chez toi, fais pas attention à ce que les autres pensent... Et puis t'es pas que une cochonne, t'es aussi une fille très gentille et très belle.

- Snif... Merci.

Jamais personne m'a dit des choses comme ça, c'est normal que ça me touche énormément. Je continue à l'étreindre un long moment; puis on finit de se laver.

- C'est la faute d'Aline, je lui explique. Elle fait exprès de me faire culpabiliser je crois...

- Je sais. Aline est... spéciale. C'est mal ce qu'elle a fait, mais tu dois pas trop lui en vouloir, pardonne-la si tu t'en sens capable.

- La pardonner... en fait... euh...

- Si tu veux me dire quelque chose hésite pas.

- On a... Camille et Eléonore... c'est ma faute aussi mais... on a enfermé Aline dans la remise pour nous venger.

- Quoi?!

- J'suis vraiment désolée! J'aurais dû les empêcher mais...

- On en reparlera plus tard.

Il se rhabille en vitesse et quitte la pièce en manquant de glisser à cause de l'eau par terre... Mes copines vont me faire la gueule... Je ferais mieux de suivre Arthur!





  - Très honnêtement, ça me fait chier qu'une fille comme toi puisse me faire autant de bien.

- Encore une remarque et j'arrêtes tout, je lui réponds.

Aline est belle, je l'ai jamais nié, je m'étais imaginé des trucs avec elle, mais j'aurais jamais cru que ça puisse devenir vrai, et encore moins que ça se passerait dans la remise! Pourtant je suis bien allongée sur elle en ce moment, en train de récupérer de mon orgasme avec nos sexes qui se frottent l'un contre l'autre. Essoufflées et en sueur.

- De toute façon, elle me dit. Je pourrai pas jouir plus que ça pendant un moment, faut que je récupère.

- Fainéante.

- C'est ça... Allez rhabille-toi, quelqu'un pourrait entrer.

- Ça m'étonnerait, je dis. Eléonore a gardé les clefs et à part elle et Sarah personne sait qu'on est là...

J'ai à peine le temps de finir ma phrase que j'entends la clé tourner dans la serrure. On a à peine le temps de se rhabiller que la porte s'ouvre: c'est Arthur! Avec Eléonore, Julie et Sarah derrière lui.

- Arthur! s'écrit Aline en lui sautant dans les bras. J'ai bien cru que j'allais mourir dans cette pièce!

- En fait pas trop...

Arthur tient la main d'Eléonore plutôt fermement, celle-là a un air paniquée, sûrement qu'Arthur l'a pas encore punie... Par contre Sarah reste dans le fond, tête baissée, elle cache quelque chose...

- Il s'est passé quoi? je lui demande mettant face à elle.

- J'suis désolée... je... elle bredouille.

Elle nous a balancées! Mais ça cache autre chose... elle rougit.

- Vous êtes vraiment incroyables! s'indigne Arthur. Qu'est-ce qui vous est passé par la tête lorsque vous avez eu cette idée?!

- C'est Camille! s'écrit Eléonore.

- D'après ce que m'a dit Sarah vous êtes toutes responsables!

On murmure toutes les 3 un petit "on est désolées".

- Désolée, répète Julie.

- Vous resterez dans votre chambre cet après-midi, déclare Arthur. Sauf Camille, tu m'aideras à finir les préparatifs pour la fête de ce soir.

- Punie, marmonne Julie.

- T'as aussi ta part de responsabilité, je lui dis.

Elle me jette un regard noir, je me demande si elle comprend ce que je lui ai dit...

- Allez manger pour l'instant, nous dit Arthur.

Les filles sortent une par une; je me souviens de la rallonge, elle traîne vers le tapis de gym.

- Tiens, j'ai trouvé ta rallonge.

- Apparemment t'as été prise à ton propre jeu... il me dit.

- Te moques pas... Dis, t'as fait quoi à Sarah, elle a l'air bizarre.

- Elle te le diras si elle en a envie. Je veux pas l'embarrasser.

- T'en a déjà trop dit, je ricane.

Il me fait rire, il veut toujours être gentil mais il est terriblement maladroit. C'est mignon! J'attrape ses bras avec mes mains:

- Tu fais quoi? il me demande.

- Je vais t'embrasser je crois.

- Je pensais que t'étais lesbienne? Pourquoi tu m'embrasserais?

- Ça j'en sais rien du tout.

C'est la pure vérité. Je me mets sur la pointe des pieds pour joindre mes lèvres aux siennes, maintenant j'en suis sûre: il a fait quelque chose avec Sarah, sinon il serait pas aussi passif... Ce baiser est pas désagréable du tout! C'est pas l'effet que me produit la langue d'Aline, c'est différent... Je peux pas être amoureux de lui, alors ça serait... de l'amitié? Un baiser d'amitié... Un moyen de m'unir à lui, comme l'a fait Aline, comme l'a sûrement fait Sarah, et peut-être Eléonore et Julie qui sait?





  - J'arrive pas à croire qu'il ait fait ça! se plaint Sarah.

- C'est de ta faute, je lui dis. Fallait pas lui dire ce qu'on avait fait.

- C'est pas de ma faute, elle murmure. Je voulais pas lui mentir.

- T'étais pas oblizée de lui parlé de ça, je rétorque.

- Je sais, mais on était sous la douche et...

Elle s'arrête tout de suite, elle vient de dire une bêtise!

- Pourquoi vous preniez votre dousse ensembles?

- Ça te regarde pas! elle me dit en s'allongeant sur son lit, dos à moi.

- Bon c'est pas grave, ze demanderai à Camille.

Je sais que ça la fera réagir car Camille elle trouvera tout de suite ce qu'ils ont fait.

- Nan c'est d'accord je vais te dire! elle s'écrit en s'asseyant sur son lit.

Je vais m'asseoir à côté d'elle, Julie vient aussi, même si je pense pas qu'elle comprendra.

- Heu...  On était en train de préparer la fête, et j'ai commencé à lui faire un câlin...

- Pourquoi t'as fait ça? je demande.

- Ben, il a dit que j'étais belle, que ça l'embêtait pas que je sois grosse.

- Mais vous avez fait quoi?

- On est montés dans sa chambre, sur son lit.

- Vous avez fait l'amour?

- Heu... Pas vraiment, en fait il m'a...

Elle rougit et baisse la tête, je sais pas ce qu'ils ont fait mais ça a l'air grave:

- Allez dit-le moi!

- ... Il a mis son zizi dans... dans mes fesses.

- Beurk, pourquoi il a fait ça? Ça a dû faire mal.

- Nan c'était... ça faisait du bien.

- Mais il y a avait du caca?

- Oui mais... mais il a dit que c'était pas grave.

Elle est de plus en plus rouge, ça doit la gêner de parler de ça, c'est normal pasque c'est très bizarre quand même...

- C'est bizarre, je lui dis. Mais c'est un peu comme s'il t'avait fait l'amour. Il t'as embrassée?

- Oui, plusieurs fois.

- Cool.

... Je sais pas si je dois lui dire que Arthur m'a embrassée moi aussi, elle a l'air rassurée et de se sentir aimée, et Camille m'a dit qu'il fallait être gentille avec elle pasqu'elle est malheureuse... Julie aussi vient la consoler, elle pose sa tête entre ses jambes.

- Au fait, t'as fait quoi comme truc avec Zulie dans la piscine.

- Je l'ai caressée, elle me dit en reprenant son calme. Jusqu'à ce qu'elle ait un orgasme.

- Z'ai zamais eu d'orgasme moi, je dis.

C'est un mensonge mais elle le sait pas, je veux pas qu'elle sache ce que j'ai fait avec Arthur hier. Elle est en train de réfléchir on dirait...

- Est-ce que... tu voudrais que je t'aide à en avoir un? elle me demande un peu hésitante.

- Ben... si tu veux ouai.

Je sais pas quoi lui répondre d'autre, et puis même si c'est pas vrai que c'est la première fois ça me fera quand même du bien je pense.

- Déjà enlève ton jean et ta culotte et allonge-toi sur le lit.

Je fais ce qu'elle me dit, j'enlève mon bas et je me retrouve juste en T-shirt, elle retire Julie d'entre ses jambes pour se mettre face à moi, puis elle se penche pour me donner des petits coups de langue au dessus de ma zézette.

- Wahou! ça fait du bien, je souffle en m'allongeant.

Elle sait vraiment bien s'y prendre. Elle suce mon bouton comme si elle voulait l'aspirer, et sa langue fait des allers-retours rapides dans ma zézette, c'est super bon!

- Orgasme...

C'est Julie qui a murmurer ça, est-ce qu'elle sait ce qu'on fait? Elle a une main entre ses jambes, j'ai l'impression qu'elle frotte le devant de son pantalon. Sarah le remarque aussi: pendant qu'elle continue de me lécher elle utilise sa main pour baisser la braguette de Julie, ensuite la petite le retire complètement avec sa culotte aussi. Julie et moi on est toutes les deux nues maintenant. Je l'ai déjà vue nue quand on prenait notre douche ensemble mais là c'est différent, c'est plus excitant.

- Elle veut jouer elle aussi, murmure Sarah... Je sais ce qu'on va faire, elle va se mettre sur toi.

- Heu... d'accord.

Je sais pas trop ce qu'elle veut faire mais je veux bien donner un orgasme à Julie. Sarah l'aide à se mettre au dessus de moi pour que j'ai son sexe à hauteur de mon visage. Son sexe est juste une petite fente, comme moi, pas comme celle de Sarah ou il y a déjà quelques poils.

- Vas-y lèche-la, me demande Sarah.

Je lui obéis et donne des coups de langue sur sa fente. C'est la première fois que je fais ça et c'est assez agréable: Julie est très propre et son sexe sent plutôt bon, il y a un léger goût de pipi mais c'est pas grand chose, c'est surtout un goût un peu sucré, comme du sirop... Elle aussi elle se met à me lécher, elle est un peu maladroite et j'ai plus l'impression qu'elle me suce en fait, mais en tout cas c'est super agréable! Ça me fait le même effet que lorsque Camille m'a léchée dans la tente, sauf que cette fois j'ai pas peur de me faire prendre, je suis plus détendue. Tout à coup Sarah aussi se met à me caresser, elle se glisse à côté de nous et commence à nous caresser les fesses. C'est bizarre, je vois sa main caresser le derrière de Julie et en même temps je sens son autre main sur mes fesses; je dois ressentir exactement la même chose qu'elle en ce moment. Les doigts de Sarah remontent un peu, vers notre sexe, elle met un peu de bave et de mouille sur son doigt et elle redescend vers notre trou des fesses. Elle fait que tourner autour en appuyant un peu, c'est très agréable ça aussi. J'entends Julie haleter au dessus de moi, je crois qu'elle va bientôt jouir, moi aussi d'ailleurs, les papillons reviennent dans mon ventre comme avec Arthur. La chaleur arrive dans mon corps; je sens Sarah faire entrer son doigt dans mon petit trou, et c'est ça qui fait s'installer la chaleur! Je laisse échapper un long râle de plaisir en continuant à lécher la zézette de Julie qui doit aussi être en train de jouir! On dirait qu'elle pousse des petites plaintes qui se font de moins en moins fortes; ensuite elle s'écroule sur moi. Heureusement elle est pas lourde et j'arrive quand même à respirer. Je sens son sexe couler dans mon cou, ça fait bizarre, un peu collant.

- C'était comment? demande Sarah en suçant ses doigts.

- Super bon, je lui dis en faisant rouler Julie sur le côté.

- Super bon... répète celle-ci.

- Merci, elle dit en nous embrassant toutes les deux.

Je m'apprête à dire un truc mais je me retiens au dernier moment: j'allais lui dire qu'elle donne des meilleurs orgasmes qu'Arthur.





  Enfin c'est fini! Et juste à temps, les filles devraient déjà être à table à l'heure qu'il est. À midi j'ai commencé à regretter d'avoir envoyé Sarah et Eléonore dans leur chambre, j'étais à présent tout seul avec Camille pour décorer la salle de spectacle...

- Heu... Arthur...

C'était Charline qui m'a approché alors que je mangeais.

- Oui?

- Est-ce que je peux... pour la fête heu... t'aider.

La pauvre était toute rouge et bégayait énormément.

- Tu veux m'aider pour préparer la fête? je lui demande.

Elle hoche la tête pour approuver, c'était pas si difficile...

Camille m'avait déjà expliqué la petite compétition des filles pour s'accaparer mon affection, cette fois ça allait jouer à mon avantage: à peine a-t-on passé 5 minutes à préparer la fête tout les trois que Lou, Sandra et Gabrielle se joignent à nous.

- On peut t'aider? demande Gabrielle.

Pas de problème.

Il est désormais 20h, l'heure de manger, et on vient d'achever les derniers préparatifs, je suis fier d'elles. À table je reste avec le groupe de Lou, je suis pas vraiment enthousiaste à l'idée de voir mon groupe qui m'a déçu ce matin. D'ailleurs je leur avais promis une punition... Je sais bien que la responsable c'est Aline plus que les autres mais... peu importe.

Après le repas les filles vont s'habiller pour la fête, elles sont assez étonnantes: alors que certaines avaient préparé robe et maquillage pour l'occasion, d'autres se contentent de reprendre leur déguisement d'hier: c'est le cas de Charline qui reste en princesse et Camille qui a gardé sa robe et son diadème de magicienne. Moi je me suis contenté d'une jolie chemise et d'un pantalon tout beau.

Lorsqu'elles entrent dans la salle, les filles sont émerveillées; il faut dire qu'on a fait des efforts: des confettis, des guirlandes, une musique entraînante dans le fond et des spots multicolores qui fusent de partout. Très rapidement les gamines laissent parler leur corps sur la musique amplifiée par les enceintes. Moi je me pose sur le côté et je m'occupe de servir les verres de jus de fruits: mine de rien avec tout ces corps qui s'agitent les filles ont vite fait d'être trempées de sueur, et mine de rien ça m'échauffe légèrement l'esprit... Cette colo m'a décidément fait vivre des expériences incroyables: je m'en veux encore d'avoir trompée Sophie mais... je pense pas que ça soit vraiment de ma faute, mais tout de même, je peux pas nier que je me suis fais plaisir: Eléonore, Aline, Sarah, même Camille et Julie! Elles m'ont toutes apporté quelque chose en un sens... La soirée continue tranquillement, ça me fait plaisir de voir que les filles de mon groupe s'intègrent aux autres: je vois Eléonore danser avec Lou, Camille discuter avec Sandra; mine de rien il y a du progrès, et j'en suis fier! Après tout, c'est moi qui les ait éduquées pendant une semaine, j'aurais influencé leur vie au moins un court moment...

23h, on doit se lever tôt demain, on passe à la deuxième partie de soirée: les slows! Les filles sont pas très motivées: dès que je coupe Carly Rae Jepsen et la remplace par une jolie chanson douce, elles évacuent le dance-floor. Heureusement on a prévu le coup et on ouvre le bal: je quitte la sono pour approcher Rebecca, après une révérence et un baise-main, je prends sa main et on part au centre de la piste. Bon, c'était pas vraiment prévu, on a improvisé ça il y a 5 minutes via des sourires et des signes d'yeux... Et, elle danse plutôt bien, je sais que tout les regards sont rivés sur nous et ça me donne un léger frisson! Il faut dire qu'elle est super belle avec sa petite jupe noire qui laisse voir la presque totalité de ses cuisses, si j'avais été quelqu'un de normal, il se serait sûrement passé quelque chose entre nous deux! Quoique... mes yeux s'arrêtent sur Aline qui me regarde avec un visage très neutre, c'est bizarre de sa part, elle arriverait presque à me rendre mal à l'aise...... Ça y est les filles perdent leur timidité, Camille arrive sur la piste avec Eléonore, Gabrielle avec Lou; on devient peu à peu transparents au milieu de tout ces petits couples.

- Mission accomplie, je chuchote à l'oreille de Rebecca, on peut s’éclipser.

- Pas tout de suite, elle répond, j'aimerais en profiter encore un peu.

Décidément!

Notre danse est interrompue par Julie qui s'accroche à ma jambe. Ça se comprend: Sarah l'a délaissée pour Camille.

- T'as une autre prétendante apparemment, rigole Rebecca en m'abandonnant pour sa soeur.

Soit, je prends Julie dans mes bras et nous entamons une danse. Même elle a fait des progrès cette semaine: elle parlait si peu les premiers jours... maintenant elle s'exprime beaucoup plus, et surtout je sens qu'elle cherche à s'intégrer en jouant avec Camille et Eléonore jusqu'à faire les mêmes bêtises qu'elles! Elle s'est faite des amies... elle a grandi.

Puis c'est Camille qui vient vers moi, du moins je le croyais, en vérité elle m'a simplement piqué Julie; et je me retrouve seul. Je remarque Sarah, larguée par Camille et aussi perdue que moi.

- Mademoiselle.

Elle me remarque et prend timidement ma main, un peu embarrassée. Et je dois dire que je le suis un peu aussi, je lui en veux pas énormément pour la vilaine blagues qu'elles ont joué à Aline, mais ce qu'on a fait tout les deux ce matin était... c'était sale, il y a pas d'autres mots. Ça me dérange pas vraiment, au contraire, c'est plutôt elle que ça avait l'air de déranger, mais en même temps elle avait l'air d'apprécier... elle découvre son corps et ses envies, j'espère juste que ça ne lui posera aucun problème plus tard...

Enfin c'est Eléonore qui veut ma dernière danse, et je peux pas lui refuser ça. C'est bien la première qui m'a tenté avec ses adorables fesses et son jean qui descend! Innocente au point de culpabiliser lorsqu'elle m'a embrassé pour la première fois! Pourtant... quelque chose me dit qu'elle est devenu un peu plus espiègle dernièrement, et l'influence de Camille doit y être pour quelque chose! Ah Camille... si je pouvais entrer dans le cerveau d'une personne c'est elle que je choisirais: elle m'a charmé, excité, embrassé, tout ça en étant lesbienne! Sûrement pour le simple plaisir de me voir ébahi sans savoir quoi dire. Au moins elle a compris à quel point la vie peut être imprévisible. Il n'y a pas de mot pour la décrire, elle est juste Camille.

La seule personne qui manque au tableau, c'est Aline. Elle est partie, sûrement pour aller se coucher. Pourtant lorsque moi-même j'irai dormir, le lit sera vide; et le lendemain, je me réveillerai seul, il n'y aura que la chaleur des draps pour me dire qu'elle a dormi avec moi.
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